Deuxième dodo loin de ma marmaille. Je ne suis pas faite pour m'éloigner trop longtemps. Même si je râle contre leur bruit, leurs querelles, leur rapportage, leurs traîneries, même si l'éloignement, le calme et le silence d'une chambre d'hotel ontarienne sont appréciés, j'aime savoir ma progéniture accessible. J'aime sentir qu'elle est suffisamment proche pour que simplement en étirant l'aile je puisse la ramener sous mes plumes. Mes ailes sont plus courtes quand ils sont petits.
Demain, je retrouverai mon minet et il sera content du beau "dago" que j'ai déniché pour lui.
4 commentaires:
Je te comprends...Ça me fait le même effet!
Profite-en tout de même!
Bonne fin de break maman canard!
France
Oh que je te comprends. Les miens partiront sous peu pour 2 semaines chez leur père et je redoute déjà la séparation. Bien que je tente de me montrer plus forte qu'eux, au bout du compte, y a des chances que ce soit moi qui verse le plus de larmes!
Adorable comme comparaison!!
Desfois c'est encore plus fatiguant d'être éloignée de nos petites turbulences ambulantes ;o)
Le sentiment de paix quand la marmaille dort enfin, toute sous le même toit, je connais.
À la limite, je me sens incomplète quand l'une d'elle découche chez une amie ;)
Mais là je vais devoir évoluer dans ce sentiment, tout de même, avec les années, hein?
Je vais souper au resto et je m'ennuie alors... je comprends tout à fait!
J'aime aussi beaucoup ton image! :c)
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