mercredi, août 27, 2008

Le désir

Comment le se*e pourrait-il être aussi délectable s'il n'y avait pas d'abord le désir? N'est-ce pas les prémisses de l'amour qui lui donnent toute sa valeur?

Les yeux qui dévorent à tue-tête, la certitude de jouir du pouvoir de plaire, les frissons qui traversent le corps au moindre effleurement et dont l'écho perdure au simple souvenir, l'odeur sublime du cou, la respiration haletante, l'urgence de l'autre si grande qu'on pourrait en pleurer, le non-verbal qui donne tout son sens aux pulsions amoureuses.

Le désir est le terreau fertile du se*e. Au moins autant que le se*e, j'aime le désir.

6 commentaires:

Sarajélu a dit...

Oui...c'est tellement vrai.
Il me semble que si le désir n'y est plus, plus rien ne peut aller.

Dans un autre ordre d'idées...carrément. Est-ce que ça vous dirait de lire mon blog je vous y rend hommage? Dites-moi si j'ai de l'avenir dans l'écriture de blog. Merci

Anonyme a dit...

Femme libre, c'est Grand Charme qui impose des conneries qui ne lui rapporte rien pour rentrer dans sa chambre. -rapport au texte: Quand je vous disais.-

Marie a dit...

Je suis tout en accord avec ton texte.

Fils ainé, tu disais?

Anonyme a dit...

Ce qui demeure époustouflant, c'est de constater que même après plusieurs années... tout cela est encore possible non?

Merci pour ce beau billet. :)

Anonyme a dit...

Le désir... Huuuummm... :-) Attisé par des mois de séparation c'est un truc de ouf!!! :-o Qui peut vraiment ressentir le désir sans ce manque de l'autre, dans sa chair autant que dans sa tête... :-S C'est fou... Mais de toute façon, ça va de soi dans un sens car qui peut éprouver du plaisir avec qqn sans désir??? ;-)

Valéry xxxxxxx

Anonyme a dit...

Mots bonbons du jour : Les yeux qui dévorent à tue-tête

Trop beau, je la note à mon carnet de citations :)

Virginie
xx