Les vêtements trop petits, ceux que les enfants se renvoient de chambre en chambre en affirmant avec conviction que ça ne leur appartient pas (c'est fou les jeux de chambres musicales ici !), presque la totalité des jouets qui traînent sous les divans et qui finissent dans le porte-poussière, les cossins qu'on accumule sur un coin du comptoir parce qu'ils doivent bien servir à quelque chose (mais diantre, quoi donc?) et qui finissent par perdre leur identité, les flûtes, les satanés BOUTS de flûtes (coup donc, on dirait que ça pousse comme des mousses dans les racoins ici !).
Après ordres formels (mais vains) de SE RAMASSER, tant pis.
Ils pesteront à chercher leurs babioles comme j'aurai pesté à tenter de les faire ranger.
Ma santé mentale s'en porte déjà mieux.
2 commentaires:
Avec mes cocos, nous regardons à tous les soirs un livre où la maman met TOUT dans une grande boîte...
Je pense qu'en lisant ton billet, j'ai le petit coup de pouce qui me manquait!
On respire tellement mieux après !
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