Chaque jour, je les regarde marcher, ces mères avec leurs poussettes, ces femmes, ces hommes qui jogguent, ces retraités qui promènent leurs chiens.
Il fait un temps superbe et même quand c'est gris, ils ont la motivation, l'énergie d'aller bouger dehors. Je les regarde et je les envie car je suis bétonnée, me manque le coup de pied au cul pour chausser mes souliers de course et aller les rejoindre. Le premier coup de pied, celui qui initie la chose, est toujours celui qui demande le plus de motivation.
Je rêve de gambader légèrement moi aussi, de sentir mon coeur battre, d'exploiter l'énergie pourtant là, quelque part, de rentrer avec un corps satisfait d'avoir couru.
Eh bien voilà, ce coup de pied, je me le suis flanqué au derrière ce matin.
Longue promenade: fait.
Corps et esprit satisfaits: fait.
La prochaine sera nettement plus facile.
3 commentaires:
oh ben dit donc.. tu sais pas venir me le donner ce coup de pied car ouffffffffffff pas de motivation poru l'instant!
tellement vrai, je me souviens il y a 1½an je vivais la même chose que toi. mais aujourd'hui c'est la dépendance, je ne survis pas ma journée sans ma promenade même sous la pluie ou en pleine tempête de neige, et ma fille aussi me la demande si je tarde. ca fait tellement du bien
Ah Grande dame,
au début, je crois que c'est une question de persévérance. Puis, vient le moment où, n'en ressentant que les bienfaits, il est impossible de revenir en arrière car, par la suite, l'exercice devient carrément une habitude de vie indispensable à notre bien-être.
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