Faire avaler un antibiotique à un jeune enfant, on adore. Lèvres pincées du récalcitrant, lutte pour le maintenir en place, cris de désespoir, impatience, chantage, promesse de surprise. La joie.
Vivement que passent les dix jours prescrits.
Après avoir assuré la première journée de lutte avec son fils pour lui faire ingurgiter la potion, Grand-Homme a tenté de me déléguer la tâche.
No way.
L'homme a bien essayé de faire pitié en me rappelant qu'il avait assuré la journée précédente mais ça n'a pas suscité chez moi la compassion escomptée.
-T'as toujours refusé d'insérer les suppositoires et d'utiliser la poire nasale; je suis prise pour le faire à tous les coups.
À chacun ses orifices.
Na.
8 commentaires:
La pilule est dur à avaler pour votre yéti, si je comprends bien.
Tiens ton bout ! On fait toujours la job sale.. (ok, je suis un peu fru contre mon amoureux ce soir, ici aussi on a des enfants malades....)
bonne convalescence au ti-pou !
Nathalie
Tiens nous aussi on est là dedans. Par contre, une chance, que le chum maîtrise la poire nasale, j'ai bien du mal.
C'est vrai que les médicaments ça goûte dégueu! Est-ce que le sirop aux bananes existe encore?
Oui ça existe encore.
Pour quelques raisons obscures Fils prenait le médicament dégueux plus facilement avec la petite seringue. Allez savoir pourquoi...
Monica ;o))
Il faut savoir déléguer avec élégance et sans culpabilité. La vie est trop courte pour tout se mettre sur le dos. Vous devenez sage! ;o)
Très bien dit!!
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