Alors que je branlais dans le manche à un carrefour de ma vie depuis trop longtemps devant trois avenues, ma seule solution envisageable : courir tous les lièvres. Je vous l'ai déjà dit, mon insatiable gourmandise fait en sorte que je veux tout . Mais, vous le savez, courir trop de lièvres (mon éternelle quête) est aussi épuisant que pernicieux.
Oh, je gère, mais en me désolant de n'avancer pas au rythme auquel je me sais capable. C'est le prix à payer quand on n'aime pas les compromis.
Cette fois, je me suis imposé une avenue. En fait, deux (elles sont compatibles).
Je vais aller au bout d'un lièvre.
Après, on verra.
Je suis libre, après tout.
4 commentaires:
Peut-on savoir lequel?(je parle du lièvre). Bizous xxx
Au bout d'un lièvre, tiens, c'est original comme formulation... ;o)
Et puis en plus un lièvre, ça court vite alors je comprends l'essoufflement d'en courir deux ou trois!!! ;-) lol
Valéry xxxxxxx
Bonne chance dans vos projets Grande Dame, je suis convaincue que tu en accomplira une ''couple'' ;o))
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