samedi, mars 06, 2010

S'éloigner de l'arbre, regarder la forêt

À présent que mon manuscrit est envoyé, j'en ai débuté une relecture pour la vue d'ensemble. Exit la révision, juste le plaisir de lire fluidement.

C'est là que les coquilles, les abus de verbes et d'adjectifs qui ont visiblement l'air de mes préférés, les fautes idiotes me sont sautées en pleine figure.

Comment ai-je pu passer à côté de telles évidences?

Vous savez quoi, docteur?

J'en ris.

4 commentaires:

Sandy P. a dit...

Bien d'accord,

il faut trouver du bonheur dans ce qu'on fait, sinon, tout est gâché. Il n'y pas autant de vocabulaire que chez Balzac (mettons), et alors? Si ce fut plaisant à être écrit, ça suffit, j'me dis.


Sauf si vous avez emprunté 50 000$ pour acheter un yacht en espérant que le bouquin viendrait tout rembourser.

Unknown a dit...

Lorsque le manuscrit sera accepté, tu auras le temps de corriger...
L'éditeur est habitué à lire malgré les quelques coquilles, ou erreurs et à y déceler le talent et les perles...

Caro et cie a dit...

Une oeuvre est-elle un jour parfait pour son auteur(e)?

;-)

Je te souhaite tellement que ton roman soit publié et connu... Tu y as mis temps, amour et âme...

En plus, avec la personnalité que tu as, tu feras le bonheur des médias... Je pressens beaucoup d'accomplissement personnel pour toi;-)

xx

Grande-Dame a dit...

Tu as raison Samuel, le bonheur compte dans l'équation !

Tes commentaires sont toujours réalistes et rassurants, France.

Caro...merci...:o)